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Une salle sous les étoiles, un polygone qui s’y dévoile.
Ce soir, est-ce une représentation ou une invocation ?
Une convocation de l’imaginaire oriental ?
Celle de sa poésie sacrée peut-être enterrée d’abord chez l’illettré ?
Celle que Kateb yacine faisait parler ?
Comme un mektoub, Reda Kateb ce soir l’incarnera, loin des hommes, pas si sûr qu’il ne nous les fasse pas plutôt rencontrer de près.
Dans une quête silencieuse des identités morcelées, puzzle dont les pièces paumées sont ces fidélités abandonnées.
Deux tisserands cheminent ensemble vers l’altérité comme un rappel de ce que l’amitié porte d’universel en elle.
Vous l’aurez compris chers auditeurs, Régine la régie mobile s’est cloitrée vers Amiral Courbet pour assister à la première édition de ce festival de ciné imaginé par des potes, qui au collège, se sont rencontrés.
Autour de moi : le parrain Reda KATEB, Gregoire Sivan, el présidente, David oelhoffen, le Real et Pascal, artisan de l’ombre, ont accepté de se prêter au jeu de l’émission du Musight ce soir pour en parler.