Laurence Charrié a toujours des projets en cours en relation avec la photographie et les rencontres humaines. Après l’oasis de Figuig au Maroc avec les témoignages de femmes elle veut s’intéresser aux nomades obligés de se sédentariser après les sécheresses des années 80 -90 .A Nîmes elle collabore à l’exposition. « les villes invisibles » de Negpos et noue aussi des contacts avec le CAUE. Bravo à elle.
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